STINKY dévoile un nouveau single avec Andrew Neufeld (Comeback Kid)
STINKY c’est plus de 400 concerts dans 15 pays différents, 4 tournées européennes, trois albums (bientôt 4), 1 EP. Leur musique est un réel mélange d’influences variées, allant du metal au punk. Cette attirance non dissimulée pour la mélodie couplée à une affinité pour la violence fait du combo une petite bombe d’énergie et d’agressivité. Après un changement de line up fin 2022, le groupe nous revient avec des influences plus modernes, comme le démontre leur titre « Moonbow » . STINKY a foulé les scènes de nombreux festivals européens dont le Hellfest, le Tell Bells, l’Xtreme Fest et a partagé la scène avec des groupes de renoms tels que Sick Of It All, Terror, Comeback Kid, Madball, Anti Flag, Against me, Ignite, Walls Of Jericho, Counterparts… STINKY est aussi un groupe qui s’attaque à des sujets bien ancrés dans son époque, comme la place des minorités de genre au sein de la scène musicale, et plus largement dans notre société. Parmi les nombreux sujets défendus par le groupe, Clair, le chanteur (auparavant connu comme chanteuse) tient quant à lui à partager son parcours d’homme transgenre.
Après « Down In the Dumps » puis « Alignment », le groupe présentera « Under Care » le 20 novembre, un nouvel extrait de leur album « SOLACE », qui paraîtra le 21 février 2025. »Under Care » est un morceau en featuring avec Andrew Neufeld, des incontournables Comeback Kid, accompagné d’un superbe clip à la fois sombre et poétique.
« Under Care » est un morceau qui se veut efficace et varié, mêlant parties punk/hardcore, refrains entêtant, break-down et chant clair aux influences pop. Puissance et mélodies affûtées sont au rendez vous, avec des lyrics intenses où s’entremêlent dépendance affective et dépendance médicamenteuse. Ce morceau est un véritable condensé des nouvelles influences du groupe, promettant un album qui s’annonce fédérateur. Pour l’occasion, le groupe dévoile un superbe clip en noir et blanc réalisé par Corentin Schieb. Clair, chanteur du groupe, explique : « On est sur une métaphore scénarisée de l’emprise, qu’elle soit affective ou médicamenteuse. L’emprise étant représentée par une antagoniste présente tout le long du clip sous la forme d’une personne absente et fantomatique. L’autre personnage avec lequel l’antagoniste entre en dualité étant moi-même. Pour l’anecdote, nous sommes restés enfermés toute une journée dans un logement fenêtres fermées pour tourner ce clip. On l’a réalisé en collaboration avec le collectif nantais Les Furtifs. »