Live Report : MINISTRY au HELLFEST 2017
English version below, click here…
Les légendaires titans du Metal industriel MINISTRY ont joué sur la scène principale de HELLFEST vendredi après-midi, et ils ont poussé une foule enragée à se ruiner avec leur musique vibrante.
Dirigé par le leader incontournable Al Jourgensen, le groupe rôdait autour de la scène, livrant des riffs dévastateurs, la batterie et les samples percutants vers la foule énervée juste en dessous. Le groupe a mélangé des titres anciens tels que « Thieves », « Psalm 69 » et « New World Order » avec des titres plus récents. Jourgensen gémissait dans un mégaphone, livrant une version qui tue de « Waiting » de l’album de 2004 « Houses of the Molé », et le groupe a également taquiné le public avec un nouveau titre, « Antifa », tiré de leur nouvel album qui sortira plus tard cette année.
Jourgensen était bavard entre les chansons, essayant parfois de parler quelques mots de français au public. Dans l’ensemble, la performance était implacable pour la foule frénétique au dessous, offrant quelques interludes plus légers, pour offrir une pause à la foule énervée lors cette journée chaude d’été. L’ensemble était compact, le son était formidable et les anciens titres résistent vraiment à l’épreuve du temps. Une absence notable de la setlist était cependant leur chef-d’œuvre industriel « Stigmata » de 1988 qui aurait été incroyable à entendre.
Et n’oubliez pas le fil d’actualités pour ne rien rater, notamment les VOD ! Tout est dispo en suivant ce lien.
Led by iconic frontman Al Jourgensen, the band prowled around the stage, delivering devastating riffs, pounding drums and samples into the moshing crowd below. The band intermingled vintage material such as Thieves, Psalm 69 and New World Order with newer material. Jourgensen wailed through a megaphone, delivering a killer version of Waiting from 2004’s powerhouse album HOUSES OF THE MOLÉ, and the band also teased the audience with a new track, Antifa, from their new album due out later this year.
Jourgensen was chatty between songs, occasionally trying his best to deliver a few words to the audience in French. Overall the performance was relentless for the frenzied crowd below, offering very little in the form of a lighter interlude to offer a break from moshing on a hot summer day. The set was tight, and the sound was a terrific and their older material really stands the test of time. A notable absence from the setlist though was their 1988 industrial masterpiece Stigmata which would have been incredible to hear.